Kyste pilonidal : convalescence

convalescence kyste pilonidal

Après une ablation du kyste pilonidal, une longue convalescence est souvent nécessaire pour retrouver une vie normale. De manière générale, il faut entre 2 semaines et un mois pour ne plus ressentir de douleur. La formation d’une cicatrice solide peut néanmoins demander jusqu’à 6 mois.

La quasi-totalité de la convalescence est accompagnée de soins infirmiers. Ces derniers sont réalisés quotidiennement à domicile pour assurer le confort du patient. Cependant, ils sont contraignants et pénibles sur le long terme, bien qu’ils soient nécessaires pour guérir.

Les soins ne représentent pourtant qu’un aspect minime de la convalescence post-opératoire du kyste pilonidal. En effet, les pratiques sportives sont contre-indiquées et l’activité professionnelle est impossible pendant les semaines suivant l’intervention. Bref, la vie des patients est totalement bouleversée !

Kyste pilonidal : premiers jours de convalescence après l’ablation

De retour à votre maison, il est important de prendre les médicaments qui vous ont été prescrits par votre chirurgien. Ces derniers sont souvent des antalgiques (Tramadol, Dopliprane…) qui vous serviront à mieux supporter la douleur.

En effet, il ne faut pas oublier que votre plaie est ouverte (pas de points de suture !) et que les chairs sont à vif. Grâce à ce traitement médicamenteux, vous pourrez passer une nuit réparatrice, essentielle pour bien entamer votre convalescence. Les soins infirmiers du lendemain seront également plus supportables.

Par ailleurs, n’oubliez pas que les produits anesthésiants qui vous ont été administrés s’éliminent en plusieurs jours. Il est donc normal que votre organisme soit affaibli. Vous pouvez vous sentir fatigué et de mauvaise humeur : c’est tout à fait bénin. Il faut donc vous ménager et vous reposer un maximum pour retrouver votre vitalité.

VOIR L’ARTICLE SUR LE FONCTIONNEMENT DE L’ANESTHÉSIE GÉNÉRALE

Il arrive parfois que les produits anesthésiques (en particulier les morphiniques) entraînent des nausées, voire des vomissements. Dans ce cas, parlez-en à l’infirmière qui viendra vous soigner dès le premier jour de convalescence. Ce n’est généralement pas un signe de complication, mais il est important d’en tenir informé le corps médical.

Comment se déroulent les soins au début la convalescence ?

Tous les jours à heure fixe (habituellement le matin), une infirmière viendra nettoyer et désinfecter votre plaie à l’aide de Bétadine. Elle posera aussi un nouveau pansement. Si vous souhaitez découvrir dans les détails comment se déroule cette partie de la convalescence, vous pouvez consulter l’article sur les soins infirmiers.

Durant la première semaine suivant l’opération du kyste pilonidal, vous risquez de ressentir de vives douleurs pendant le curage de votre plaie. Celles-ci surviennent souvent au moment où les produits désinfectants entrent au contact des tissus cellulaires. Elles diminuent ensuite graduellement.

S’asseoir après une opération du kyste pilonidal

Même si les douleurs tendent à disparaître, l’inconfort causé par la plaie peut durer plusieurs mois. Vous aurez du mal à vous asseoir, surtout au début. C’est pour cette raison que les chirurgiens recommandent l’utilisation d’un coussin à décharge coccygienne. Ce dernier permet aux personnes actives de retrouver une vie plus ou moins normale : il sera possible de travailler dans un bureau et de participer à des repas à table.

coussin sinus pilonidal convalescence

Voir le coussin orthopédique
 

Également, il est déconseillé de dormir sur le dos, surtout au début de la convalescence post-opératoire du kyste pilonidal. D’ailleurs, pour éviter une récidive, cette habitude est même à bannir définitivement !

Convalescence du kyste pilonidal et activité professionnelle

Après une exérèse du kyste pilonidal, vous avez droit à plusieurs semaines de convalescence sans travail. La durée exacte est définie selon l’ampleur de votre plaie profonde, son évolution et les éventuelles complications. Les caractéristiques de votre activité professionnelle peuvent aussi être déterminantes.

VOIR L’ARTICLE COMPLET SUR L’ARRÊT DE TRAVAIL

Au cours de votre convalescence post-opératoire, vous bénéficierez d’un temps de repos suffisant pour ensuite reprendre vos activités sereinement. Ne négligez pas votre convalescence au risque que votre cicatrisation soit plus longue que prévue !

Le sport au début de la convalescence du kyste pilonidal

Dans un premier temps, toute activité sportive est à éviter. Effectivement, tous les sports engendrent des contraintes sur la plaie qui peut s’irriter et suinter. Ainsi, il vaut mieux mettre entre parenthèses vos activités physiques pendant les trois premières semaines après l’opération du sinus pilonidal.

Néanmoins, essayez de marcher régulièrement pour favoriser la circulation sanguine dans la zone du sillon interfessier. Même si c’est douloureux, forcez-vous à rester debout ou à marcher pendant quelques dizaines de minutes chaque jour. De cette façon, votre corps sera maintenu en forme, ce qui sera bénéfique lors de la reprise de vos activités.

Les sports à frottements comme la course à pied et le vélo sont particulièrement déconseillés. En effet, ce sont ceux qui irritent le plus la plaie et qui peuvent entraîner des récidives. Ainsi, pour favoriser une guérison rapide, il est préférable d’éviter ce genre de sport pendant le premier mois de convalescence.

Conduire durant les premiers jours de convalescence

La conduite fait également partie des nombreuses restrictions auxquelles sont soumis les patients opérés d’un kyste pilonidal. Pour éviter toute contrainte pouvant créer des douleurs et abîmer la plaie, conduire n’est pas autorisé au début de la convalescence.

Si toutefois vous n’avez pas d’autre choix que de vous déplacer (rendez-vous à l’hôpital, etc…), demandez à un proche de vous conduire. Vous pouvez utiliser un coussin à décharge coccygienne pour éviter de déclencher des douleurs au cours des trajets les plus longs.

Durant la première semaine suivant l’ablation du kyste sacro-coccygien, il ne faut surtout pas conduire. D’une part, vous risquez d’être distrait au volant à cause des douleurs et, d’autre part, les produits anesthésiques peuvent provoquer des malaises vagaux. Il faut compter un bon mois avant de pouvoir conduire de nouveau, sur des petits trajets.

L’alimentation durant les jours suivant l’ablation du sinus pilonidal

La plupart des kystes pilonidaux se situent près de la zone anale. Des tiraillements et des picotements peuvent survenir tout au long de la convalescence. En allant à la selle, ces douleurs peuvent grandement s’intensifier. Il est même fréquent d’avoir des saignements pendant la première semaine suivant l’intervention.

Pour remédier à ce problème et pour éviter de fragiliser la plaie, une alimentation riche en fibre doit être mise en place. Pour cela, vous devez consommer beaucoup de légumes, de fruits, et une quantité moindre de glucides (pâtes, pommes de terre, pain…). De plus, il faut absolument éviter le chocolat qui a tendance à favoriser la constipation !

Ainsi, un tel régime permet de fluidifier les selles. Cela vous aidera à cicatriser plus rapidement. Ci-dessous figure un repas type que vous pouvez consommer la veille des premiers soins post-opératoires.

kyste pilonidal alimentation

Voir la recette

Par ailleurs, il est important de nettoyer la zone anale après chaque selle pour éviter la prolifération des bactéries au sein de la plaie. L’idéal est de prendre une douche directement après être allé aux toilettes.

Se laver au cours des premiers jours de convalescence

Alors que les selles sont douloureuses pendant les quelques jours après l’intervention chirurgicale, prendre une douche peut aussi être désagréable. Les chairs à vif n’apprécient guère l’eau. Pourtant, elle peut être bénéfique à la cicatrisation : elle draine la plaie et enlève le pus.

Pendant la première semaine de rétablissement, veillez à ne pas arroser trop fort la cavité. Passez simplement un peu d’eau dessus de manière à pouvoir la nettoyer avec une compresse stérile non tissée. Il ne faut pas appuyer, mais simplement essuyer l’exsudat et sécher la zone pour éviter la macération.

Il vaut mieux vous laver AVANT vos soins infirmiers pour faciliter le travail des aide-soignants. Cependant, si votre plaie est soignée le matin, vous pouvez effectuer un rinçage à l’eau le soir, surtout au début de la convalescence.

Pour compléter les soins de cicatrisation, vous pouvez terminer votre lavage personnel quotidien en appliquant une crème cicatrisante. Il faut la déposer délicatement sur les berges et la faire pénétrer au sein de la plaie en effectuant des petits cercles avec une compresse de gaze. Un tel produit permet de réduire la durée de la convalescence sur le long terme.

Voir la crème sur Amazon
Après chaque soin, infirmier ou à titre personnel, un pansement doit être apposé. Normalement, une mèche doit également être introduite dans la cavité pour combler le lit de la plaie. Les infirmières le font systématiquement, mais il est difficile de réaliser cette opération seul. Demandez donc de l’aide à un proche si vous avez l’habitude de nettoyer la plaie en complément des soins infirmiers quotidiens.

Kyste pilonidal : la suite de la convalescence

Une à deux semaines après l’opération du sinus pilonidal, vous entrerez dans la deuxième phase de rétablissement post-opératoire. Les souffrances seront moindres, mais l’inconfort sera toujours présent. Cela est du à la plaie qui, bien que superficielle, est toujours en cours de régénération.

D’ailleurs, la sensation de gêne permanente va durer jusqu’à la fermeture de la plaie, voire au-delà. Il est donc important de vous préparer à ces sensations de brûlures cutanées pour mieux les supporter.

Heureusement, ces désagréments sont légers, bien que permanents. Néanmoins, votre vie quotidienne sera toujours restreinte tant que la cicatrice ne sera pas fermée solidement. En revanche, il sera possible d’effectuer davantage d’activité en comparaison avec les premières semaines après l’acte chirurgical.

L’évolution des soins plusieurs semaines après l’ablation du kyste pilonidal

Les soins infirmiers changent grandement à partir du moment où la plaie entame son bourgeonnement. Les infirmières peuvent remplacer les mèches pour en utiliser d’autres plus absorbantes : les écoulements sanguins diminuent tandis que la sécrétion purulente augmente. Vous pouvez retrouver le détail de ces changements dans l’article sur les soins post-opératoires.

Bien que peu répandus, certains aide-soignants mettent en place des cataplasmes d’argile verte sur la plaie de leurs patients. Ce genre de soins est en effet riche en minéraux utiles au processus de cicatrisation. Si vous souhaitez en savoir plus, consultez l’article sur l’utilisation de l’argile verte pour améliorer la cicatrisation.

Par ailleurs, sachez que les douleurs occasionnées par le nettoyage de la plaie vont se calmer au fil de la convalescence. Votre infirmière pourra aussi vous demander de drainer la cavité grâce à la pression des jets d’eau de votre pomme de douche avant les soins. Dans ce cas, veillez à mettre suffisamment de puissance sans toutefois agresser la plaie.

À ce stade de la convalescence, vous pouvez compléter le rinçage à l’eau par un soin au savon cicatrisant. Il existe depuis quelques années des produits à base de miel adaptés à la douche. Ces derniers sont reconnus pour leurs propriétés naturelles : ils désinfectent la plaie et réparent l’épiderme. Il s’agit d’une bonne alternative aux produits chimiques du commerce. Vous pouvez trouver ci-dessous le savon à utiliser durant les suites post-opératoires du kyste sacro-coccygien.

 

Voir le produit sur Amazon
 
De plus, vous pouvez continuer votre nettoyage personnel le soir, si vous en ressentez le besoin. À ce propos, si vous vivez dans une région chaude, cela peut-être intéressant : la transpiration est néfaste à la cicatrisation de la plaie. Retenez donc que vous pouvez nettoyer la plaie régulièrement en dehors des soins antiseptiques infirmiers, tant que vous ne l’irritez pas.

Diminution des douleurs au cours de l’assise après quelques semaines de convalescence

Au début de la convalescence, s’asseoir est très douloureux. Vous appliquez un poids important sur la plaie qui vous le fait savoir ! Au fil des semaines, il devient possible de s’asseoir sur une chaise dure en ne ressentant qu’un léger inconfort. Par contre, les supports plus mous comme les canapés et les sièges de voitures restent insupportables car ils favorisent les contraintes sur la zone coccygienne.

Dans tous les cas, une position assise prolongée entraîne des douleurs. Pendant les deux premiers mois de convalescence, il n’est pas possible de rester assis plus de trente minutes sans déclencher des souffrances. C’est pour cela qu’un coussin orthopédique à mémoire de forme présente un intérêt certain pour le confort du patient.

La reprise progressive du travail après la convalescence

L’arrêt maladie après une opération du kyste pilonidal ne dure environ qu’un mois. L’objectif est que le patient se rétablisse rapidement en évitant tout élément susceptible de ralentir la cicatrisation (trajet en voiture, assise prolongée).

Au bout d’un mois, la plaie est moins sensible et permet de retrouver une activité professionnelle. Selon votre métier, vous pouvez bénéficier d’adaptations : parlez-en directement avec votre employeur pour qu’il puisse optimiser votre retour au sein de l’entreprise. Veillez aussi à vous lever régulièrement pour améliorer le retour veineux au bureau.

Si malheureusement des complications surviennent après votre reprise du travail, un nouvel arrêt pourra être envisagé pour poursuivre votre rétablissement. Souvent, ce sont les patients qui portent des charges lourdes qui sont victimes de difficultés au cours de leur convalescence.

Reprendre le sport après une opération du kyste pilonidal

Les personnes sportives ont été contraintes d’arrêter leur entraînement pour favoriser leur guérison et éviter toute irritation. Néanmoins, elles pourront graduellement se remettre au sport à mesure que leur plaie se désensibilise et diminue.

Il faut compter au moins 6 semaines pour reprendre une activité physique sans générer de séquelles. La marche est le sport à favoriser au début : les frottements ne sont pas intenses et les mouvements ne sont pas brusques. De la même manière, les amateurs de course à pied pourront progressivement reprendre leurs footings.

Les mouvements brusques et les entraînements intenses sont absolument à éviter : ils risquent de fatiguer votre organisme qui a besoin d’énergie pour cicatriser votre plaie ! De cette façon, tous les entraînements fractionnés et musculaires sont proscrits pendant la période de rétablissement.

Les sports à appuis comme le badminton, le tennis ou même le football sont déconseillés en raison des lésions qu’ils peuvent entraîner dans plaie. Il en va de même pour le cyclisme qui implique une assise peu confortable et dangereuse pendant la convalescence.

D’autre part, la natation en piscine publique n’est pas une bonne idée. Ces endroits sont souvent des nids à bactéries et il faut éliminer tout risque inflammatoire.

En revanche, une baignade à la plage n’est pas à exclure en fin de convalescence : l’eau de mer aiderait à la cicatrisation grâce aux minéraux qu’elle contient. Sachez cependant que cette hypothèse est controversée et que les déchets contenus dans l’eau de mer pourraient provoquer une infection.

L’alimentation à adopter pour favoriser la guérison

Alors que la nourriture riche en fibres est à favoriser au début de la convalescence, une tout autre alimentation est à envisager jusqu’à la fermeture de la plaie.

En effet, la nature est bien faite : il existe des aliments aux propriétés surprenantes qui permettent une bonne cicatrisation. Ce n’est pas un secret, le miel est un allié non négligeable pour favoriser la formation d’une cicatrice rapide. Il y a néanmoins des miels plus efficaces que d’autres pour accélérer le processus de guérison.

Les miels bruts et non transformés donnent les meilleurs résultats. Parmi ceux-ci, nous pouvons citer le miel de Manuka dont la renommée dans le domaine médical ne cesse de croître. Effectivement, il permet d’éliminer les foyers infectieux de manière remarquable, ce qui favorise la création de nouveaux tissus épidermiques.

 

Découvrir le miel de Manuka fabriqué en Nouvelle-Zélande
 

Vous pouvez en consommer au petit déjeuner sur du pain, sans toutefois en abuser. Les amateurs de thé pourront même ajouter une petite cuillère de ce miel médicinal pour varier les saveurs. Les bienfaits de la consommation de ce produit se ressentent sur le long terme : les patients guérissent plus vite et leur cicatrice est plus solide.

Par ailleurs, il est important de conserver une alimentation saine et équilibrée. L’excès d’alcool, de gras et de sucre peut nuire à votre convalescence : ces nutriments perturbent la glycémie et fatiguent l’organisme par les difficultés de digestion qu’ils engendrent.

L’idéal est de séparer vos repas sous plusieurs aspects nutritifs :

  • 45% de glucides : le riz, les pâtes, les pommes de terre, le quinoa et les pois chiches peuvent être consommés régulièrement.
  • 25% de lipides : les matières grasses, les avocats, les amandes, etc… Ils sont essentiels au bon fonctionnement du métabolisme.
  • 30% de protéines : les viandes, le poisson, les oeufs et les légumineux.

Les fibres jouent un rôle très important dans le bon fonctionnement du corps. Elles ont donc leur utilité au sein de votre régime alimentaire de convalescence. Les fruits et légumes en sont gorgés, c’est pourquoi vous pouvez en consommer quotidiennement.

Kyste pilonidal : fin de convalescence et rétablissement

Après plusieurs mois éprouvants, la plaie est finalement refermée. Toute la cavité est désormais comblée de chair. Le kyste pilonidal a disparu et c’est la fin de votre convalescence ! Elle fut longue, mais elle en valait la peine : vous pouvez maintenant retrouver une vie normale (ou presque !).

Les activités les plus simples comme le sport peuvent être pratiquées sans contraintes. Si toutefois vos passe-temps favoris impliquent de l’eau ou des mouvements brusques, soyez vigilants : ce serait dommage que la plaie s’ouvre de nouveau !

D’ailleurs, les cyclistes devront se munir d’une selle orthopédique pour reprendre leur activité sportive de manière durable. En effet, il est évident que le vélo compresse beaucoup le pli interfessier. De ce fait, la plaie peut se rouvrir et une récidive peut avoir lieu.

Voir cette selle ergonomique sur Amazon
 

La selle ci-dessus peut être utilisée avec un VTT ou un vélo de route et possède un design atypique. Celui-ci décharge la zone coccygienne de toute contrainte et rend la pratique du cyclisme possible dès la fin de la convalescence du kyste pilonidal.

Par ailleurs, peu importe le sport pratiqué, il faut directement prendre une douche après une séance. Celle-ci permet d’éliminer toutes les impuretés causées par les frottements, mais elle sert surtout à enlever la transpiration.

Après votre convalescence, vous pourrez aussi effectuer des trajets en voiture plus longs qu’auparavant. Néanmoins, vous ressentirez toujours un inconfort après cicatrisation complète. Les gênes peuvent durer jusqu’à 1 an après la période de convalescence. C’est pour cela qu’il est nécessaire d’utiliser au quotidien un coussin orthopédique (voir l’article complet sur le sujet).

Ainsi, vous pourrez à nouveau vivre sans contraintes majeures après votre convalescence. Vous pourrez apprécier une séance de cinéma et pratiquer des activités sportives régulièrement. Il faudra toutefois veiller à ne pas rester assis trop longtemps et ne pas effectuer de mouvements risqués : rappelez-vous que votre cicatrice se solidifie toujours !

DÉCOUVREZ COMMENT ÉVITER LA RÉCIDIVE

Retrouvez les informations de base pour comprendre le kyste pilonidal et ses symptômes.

Partager sur :
Laisser un commentaire