Alors que je croyais être définitivement débarrassé de mon kyste sacro-coccygien après mon opération (voir mon précédent témoignage), j’ai ressenti, fin 2016, des sensations étranges au niveau de mon sillon interfessier. Je ressentais comme des petits picotements et des démangeaisons à chaque fois que je m’asseyais.
Je n’ai pas voulu dramatiser la situation dès la première douleur, mais je dois avouer que j’ai directement pensé à une récidive du kyste pilonidal. En effet, mes sensations étaient fortement similaires à celles que j’avais ressenties en 2015. Et ce n’était malheureusement pas une coïncidence… Découvrez mon témoignage sur la récidive de mon kyste sacro-coccygien.
Sommaire
Nouvelle consultation chez le médecin, nouveau kyste sacro-coccygien
Toujours dans l’espoir de ne pas avoir de nouveau kyste sacro-coccygien, je me suis rendu chez mon médecin traitant. Le même qui m’avait diagnostiqué un an auparavant ! Il m’a donc examiné et a palpé une petite grosseur qui était présente dans mes tissus sous-cutanés…
Mon kyste pilonidal avait donc récidivé… J’étais un peu sonné à l’annonce de la nouvelle. Ce n’est pas une pathologie grave, mais c’est en réalisant qu’une nouvelle convalescence m’attendait que j’ai pris un coup au moral.
Je n’avais absolument pas envie d’opérer ma récidive du kyste sacro-coccygien, par peur de passer plusieurs mois enfermé et de manquer plein de bons moments. Aussi, mes ambitions professionnelles et sportives ne me laissaient pas d’autres choix que d’envisager une solution alternative pour éliminer cette fistule sous-cutanée.
Opérer ma récidive du kyste sacro-coccygien ou choisir un autre moyen de traitement ?
Croyant m’aider, mon médecin traitant a contacté un de ses collègues chirurgiens, puis m’a proposé de programmer une intervention chirurgicale deux semaines plus tard. J’ai refusé sa proposition, même si elle était plutôt intéressante, car j’avais la conviction qu’il existait d’autres moyens pour soigner mon kyste pilonidal.
J’ai donc pris mon mal en patience pour réfléchir malgré les douleurs qui s’intensifiaient. Je voulais peser le « pour » et le « contre ». D’ailleurs, le coussin orthopédique que j’avais acheté pour ma précédente convalescence s’est révélé très utile pour calmer mes souffrances et prendre une décision calmement.
En fait, ce support évite au kyste sacro-coccygien d’être compressé quand on s’assoit, ce qui soulage grandement les douleurs. Dans un premier temps, j’avais donc pensé à emporter ce coussin partout avec moi, pour pouvoir vivre avec ma récidive sans toutefois en subir les symptômes.
Cependant, je me suis souvenu que le kyste pilonidal est une maladie infectieuse qui a tendance à prendre de l’ampleur avec le temps. J’allais donc, en décidant de ne pas opérer et en traitant uniquement les douleurs, contribuer à la formation d’un grand trajet fistuleux au sein de mes tissus cutanés.
Plutôt que de traiter les douleurs, j’allais devoir agir sur leur origine
J’ai donc pris une bonne dizaine de jours pour opter pour la solution suivante : j’allais trouver un moyen pour traiter mon kyste pilonidal sans opération (voir l’article complet sur le traitement sans opération). Ainsi, en soignant la cavité kystique, j’allais pouvoir réduire les douleurs sans retirer de manière chirurgicale ma récidive du kyste sacro-coccygien.
Essai d’une première méthode pour faire disparaître ma récidive du kyste sacro-coccygien
En fouinant un peu sur le net, je n’ai pas eu de mal à trouver des pages abordant des méthodes de traitement du kyste pilonidal sans opération. Néanmoins, la plupart d’entre-elles étaient vides d’informations. En fait, la majeure partie du temps, ces remèdes étaient abordés sur des forums où des personnes demandaient des conseils.
Une méthode de soin du kyste sacro-coccygien a pourtant retenu mon attention : les compresses chaudes. Le principe ? Assécher le sinus pilonidal grâce à la chaleur de l’eau. Ça ne coûtait rien d’essayer, et certaines personnes donnaient de bons retours, même s’ils ne semblaient pas miraculeux.
Avec cette méthode, la seule précaution à prendre est l’utilisation de compresse STÉRILES
Juste après avoir découvert cette méthode de traitement, j’ai décidé de la tester sur ma récidive. Pour ce faire, j’ai utilisé une compresse stérile non tissée que j’ai imbibé d’eau très chaude. En fait, d’après certaines infirmières qui ont témoigné sur Internet, il est primordial d’utiliser des compresses stériles pour éviter que des germes microbiennes se joignent à l’eau et contaminent le kyste sacro-coccygien.
Les résultats ont pris du temps à être perceptibles, mais j’ai malgré tout constaté une petite diminution de la taille de ma récidive du kyste sacro-coccygien. J’étais heureux car je pensais que j’allais pouvoir traiter mon kyste pilonidal très facilement, sans opération et à moindre coût, mais c’était trop beau pour être vrai.
L’huile essentielle de tea tree pour soigner mon kyste pilonidal réapparu
Il y a quelques années, j’ai souffert d’eczéma. À ce moment, une amie qui avait des problèmes de santé similaires m’avait parlé des huiles essentielles. Elle m’avait orienté vers l’huile essentielle d’arbre à thé (souvent appelée huile essentielle de tea tree), qui avait été particulièrement efficace pour soigner ses problèmes de peau, grâce à ses nombreuses vertus médicinales.
J’avais décidé de ne pas suivre ses conseils, tout simplement car je ne croyais pas en l’aromathérapie. Néanmoins, un peu désorienté et paniqué par rapport à ma récidive du kyste sacro-coccygien, j’ai décidé d’acheter un flacon d’huile essentielle de tea tree. En fait, cette huile aurait des propriétés antiseptiques qui pourraient aider l’organisme à lutter contre les foyers infectieux.
Ma méthode pour traiter la récidive du kyste pilonidal avec l’huile essentielle de tea tree
Au début, j’ai décidé d’appliquer une dizaine de gouttes d’huile essentielle de théier directement sur la zone de mon sinus pilonidal, sans vraiment me renseigner sur les méthodes de soins au préalable. Quelle erreur ! Dès les premiers jours, j’ai eu l’impression d’avoir le sillon interfessier en feu !
En fait, j’ai compris quelques jours après que les huiles végétales sont très concentrées et que quelques gouttes suffisent pour les utiliser de manière optimale. J’ai donc traité ma récidive de kyste sacro-coccygien à raison de 2 gouttes matin et soir, et c’est ce que je recommande de faire à toutes les personnes qui liront ce témoignage !
En effet, fidèle à sa grande réputation dans le milieu de l’aromathérapie, l’huile essentielle d’arbre à thé m’a permis de ne plus ressentir de douleurs au bout de deux jours de traitement. Après 5 à 6 jours de soins quotidiens, j’ai même pu constater une réduction conséquente de la taille de mon kyste.
Au bout d’une dizaine de jours de soins à l’huile essentielle d’arbre à thé (dont l’odeur est particulièrement plaisante, il faut le préciser !), j’avais l’impression d’être redevenu normal. C’est-à-dire que je n’avais plus aucune gêne, ni de grosseur, ni de douleur. J’avais l’impression que la récidive de mon kyste pilonidal s’était volatilisée !
J’étais plus que ravi, j’ai même fêté ça avec ma famille ! Cependant, une question revenait sans cesse dans mon esprit : « Arrêter le traitement à l’huile essentielle de tea tree va-t-il faire réapparaître mon kyste pilonidal ? ». Pire encore : je me demandais s’il avait vraiment disparu.
Pour le savoir, j’ai arrêté le traitement pendant quelque temps, et j’ai regardé comment se comportait ma récidive
Vers J+12 après avoir utilisé pour la première fois l’huile essentielle de tea tree, j’ai décidé de faire une pause pour savoir si c’était un moyen durable pour éliminer le kyste sacro-coccygien. Les résultats n’ont pas tardé à se faire sentir : j’ai ressenti, à nouveau, une gêne au niveau coccyx, environ 20 jours après l’arrêt du traitement.
Le kyste était donc toujours présent, mais j’avais trouvé une solution peu onéreuse et naturelle pour le faire disparaître, au moins temporairement : c’était l’huile essentielle de tea tree. J’ai donc décidé de reprendre le processus de soins quotidiens pour faire disparaître ma récidive du kyste sacro-coccygien. Au bout de 2 à 3 jours, toutes les mauvaises sensations ont disparu !
Je commençais alors à me rendre compte que j’allais avoir du mal à éliminer définitivement le kyste sacro-coccygien, mais les résultats du traitement à l’huile végétale d’arbre à thé étaient tellement rapides et prometteurs que j’ai décidé de vivre sans retirer la fistule, en la traitant toutefois de manière régulière avec l’huile essentielle, lorsque des crises pilonidales se manifestaient.
Je vis désormais de manière tout à fait normale, et j’ai pu éviter l’opération ! Même si, de temps en temps, des douleurs réapparaissent au niveau de mon sinus pilonidal, elles sont assez rares et peu dérangeantes, si bien que je ne me considère plus comme atteint d’un kyste sacro-coccygien !
Quelques précisions pour soigner correctement votre récidive de cette façon
Le plus important est de bien choisir son huile essentielle et d’être régulier dans le traitement
Toutes les huiles essentielles ne se valent pas : c’est ce que j’ai retenu de mon expérience. Certaines boutiques proposent des huiles essentielles diluées (auxquelles on a rajouté un diluant comme de l’eau, d’autres huiles végétales, ou mêmes des produits chimiques). Il ne faut surtout pas choisir ce genre de produit.
Effectivement, ces huiles peuvent être toxiques pour la peau du kyste sacro-coccygien et provoquer des allergies inflammatoires et des réactions cutanées comme de l’eczéma ou des brûlures. Également, la méthode de traitement énoncée dans ce témoignage correspond à l’utilisation d’une huile essentielle de tea tree pure. L’usage d’une huile essentielle diluée demanderait donc des dosages différents.
Le produit ci-dessous est totalement naturel et pur. Il convient à un usage médical et une application directe sur la peau. Avec cette huile végétale d’arbre à thé, vous pouvez traiter votre kyste pilonidal selon mon protocole de soins. Je réalise d’ailleurs moi-même mon traitement avec ce produit.
Conclusion sur ma vie avec ma récidive du kyste sacro-coccygien
Alors que je m’attendais à passer de nouveau sur le billard, je suis finalement capable d’avoir une vie normale avec ma récidive du kyste sacro-coccygien. Je n’ai jamais été un amateur de produit médicaux naturels, mais je dois avouer que l’huile essentielle d’arbre à thé m’a vraiment aidé à retrouver une vie normale, sans toutefois opérer ma fistule.
Je pense que mon kyste pilonidal peut se manifester de nouveau mais, au fil des ans, les soins à l’huile essentielle d’arbre à thé sont devenus une habitude et je n’ai désormais plus de crises pilonidales. Je peux vivre normalement, faire du sport, aller au cinéma, sans me soucier de l’état de mon pli interfessier !
Néanmoins, plusieurs fois par mois, je suis contraint d’effectuer ce « rituel » à base d’huile végétale pour éviter tout risque inflammatoire et des souffrances inutiles. J’ai la conviction que quelques minutes sacrifiées chaque mois ne représentent pas grand chose à côté d’une opération longue, douloureuse et handicapante !
Désormais, d’autres moyens de traitement naturel du kyste sacro-coccygien sont possibles, même si je ne vais pas les aborder dans ce témoignage. Par exemple, l’argile verte devient de plus en plus populaire pour traiter la pathologie sans opération. Je l’ai moi-même testée pendant quelques temps, ce qui m’a permis de donner un retour sur ses bienfaits particulièrement surprenants !
VOIR COMMENT TRAITER LE KYSTE PILONIDAL AVEC L’ARGILE VERTE
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Bonjour, je m’appelle Leah j’ai 25 ans. Aujourd’hui le 17 septembre 2021 sa fait 2 jours que je me suis faite opérer d’un kyste sacro oxygen…
Mon histoire remonte vers mes 19-20 ans j’étais en vacances avec ma famille à la mer, dans la nuit une vive douleur est survenu (impossible de dormir ou s’asseoir), ma mère m’a emmener voir mon médecin traitant (toujours actuel) au début il dis que c’est un furoncle donc que je peux me faire opérer mais à l’âge de 19 ans j’étais pas sur de cette opération donc je décide de ne rien faire.. En juin 2021, pendant un week-end j’ai une vive douleur à l’inter fessiers, impossible de s’asseoir, vertige et fièvre.. Je décide d’aller voir mon médecin quel surprise d’apprendre que j’ai 3 kystes !! Je décide cette fois ci d’écouter mon médecin et je prend un rdv avec un chirurgien viscérale (Dr Buisson). Le jour du rdv j’angoisse, je ne sais pas ce qu’il m’attend.. Le Dr Buisson m’explique en détail l’opération et la convalescence. Je signe pour me faire opérer le 15 septembre à 8h du mat. Oui mon chirurgien m’a laissé tranquille pour l’été. Le Jour J arrive j’angoisse pour mon opération… Mais tout ce passe bien 😊
Pour ma convalescence on as mis en place la Vac c’est une méthode de cicatrisation accélérer… Le seul soucis c’est que je dois rester allongé dans mon lit et laisser faire la machine, je suis en arrêt pendant 20 jours.
Bonjour
Je me suis fait opérer deux fois pour un kyste pilonidal et après six mois de l’opération la plaie vient se réouvrir que dois je faire ? Est ce que le chirurgien peut être responsable de ces récidivistes ? On me dis de changer de médecin mais je ne sais pas quoi en penser mise à part que ma vie n’est plus la même et que je risque de perdre mon travail à force de ces arrêts répétés. Pouvez vous me conseiller sur ce sujet car je suis désespérée 😫